Bonjour !
Vivre sous l’emprise de la chair ou sous la gouverne de l’Esprit… on reconnaît là le choix permanent face auquel Saint Paul place le chrétien. Le mot «chair» n’est pas à assimiler avec ce que nous appelons couramment «le corps». D’ailleurs, Saint paul est plus explicite ; il parle de «vivre selon la chair» et «vivre selon l’Esprit (du Christ)», c’est-à-dire de deux modes de vie. La seconde lecture de ce 14ème dimanche ordinaire est extraite de la Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (Rm 8, 9.11-13)
Vivre sous l’emprise de la chair ou sous la gouverne de l’Esprit… on reconnaît là le choix permanent face auquel Saint Paul place le chrétien. Le mot «chair» n’est pas à assimiler avec ce que nous appelons couramment «le corps». D’ailleurs, Saint paul est plus explicite ; il parle de «vivre selon la chair» et «vivre selon l’Esprit (du Christ)», c’est-à-dire de deux modes de vie. La seconde lecture de ce 14ème dimanche ordinaire est extraite de la Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (Rm 8, 9.11-13)
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09i Frères, vous n’êtes pas sous l’emprise de la chair, mais sous l’emprise de l’Esprit, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous.Celui qui n’a pas l’Esprit de Christ ne lui appartient pas.
11 Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
12 Ainsi donc, frères, nous avons une dette, mais ce n'est pas envers la chair : nous n'avons pas à vivre sous l'emprise de la chair.
13 Car si vous vivez sous l'emprise de la chair, vous devez mourir ; mais si, par l'Esprit, vous tuez les désordres de l'homme pécheur, vous vivrez.
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Celui qui vit selon la chair compte sur ses seules forces et sa seule intelligence, s’éloigne de Dieu et, de ce fait, va dans le mauvais sens, dans le mauvais chemin. Or le chemin de la vie et de la vérité, c'est Christ lui-même. Cela rappelle l’attitude d’Adam qui, sous la flatterie de Satan, voulut ressembler à Dieu sans l’aide de Dieu. Nous connaissons les conséquences de ce choix pour lui-même et pour sa descendance. Au contraire, celui qui vit selon l’Esprit se laisse habiter et guider par lui à chaque instant de sa vie. Paul ne clamera-t-il pas : «J’ai donné ma foi au Christ ressuscité. Non ! ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi, il me sauve». Car en effet, celui qui vit selon l’Esprit est sauvé. Nous aussi, depuis notre baptême, nous avons reçu l’Esprit de Dieu, c'est-à-dire son amour ; mais lui avons-nous réellement ouvert notre maison ? Lui avons-nous laisser le temps de façonner en nous un cœur et un esprit nouveaux ?
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09i Frères, vous n’êtes pas sous l’emprise de la chair, mais sous l’emprise de l’Esprit, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous.Celui qui n’a pas l’Esprit de Christ ne lui appartient pas.
11 Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
12 Ainsi donc, frères, nous avons une dette, mais ce n'est pas envers la chair : nous n'avons pas à vivre sous l'emprise de la chair.
13 Car si vous vivez sous l'emprise de la chair, vous devez mourir ; mais si, par l'Esprit, vous tuez les désordres de l'homme pécheur, vous vivrez.
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Celui qui vit selon la chair compte sur ses seules forces et sa seule intelligence, s’éloigne de Dieu et, de ce fait, va dans le mauvais sens, dans le mauvais chemin. Or le chemin de la vie et de la vérité, c'est Christ lui-même. Cela rappelle l’attitude d’Adam qui, sous la flatterie de Satan, voulut ressembler à Dieu sans l’aide de Dieu. Nous connaissons les conséquences de ce choix pour lui-même et pour sa descendance. Au contraire, celui qui vit selon l’Esprit se laisse habiter et guider par lui à chaque instant de sa vie. Paul ne clamera-t-il pas : «J’ai donné ma foi au Christ ressuscité. Non ! ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi, il me sauve». Car en effet, celui qui vit selon l’Esprit est sauvé. Nous aussi, depuis notre baptême, nous avons reçu l’Esprit de Dieu, c'est-à-dire son amour ; mais lui avons-nous réellement ouvert notre maison ? Lui avons-nous laisser le temps de façonner en nous un cœur et un esprit nouveaux ?
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