Bonjour !
L’espérance que le Seigneur attise en nous est fondée sur la foi et sur notre croyance en sa bonté. Mais, dans nos misères spirituelles, nous avons souvent tendance à nous tourner vers lui comme par intérêt, comme un coup de poker… Or, seul le Seigneur nous rassure et nous assure au long de nos épreuves. Si donc notre corps doit mourir, c’est au péché qu’il doit mourir. Mais en nous délivrant du péché, le Seigneur nous délivre de la mort des impies ou de la mort éternelle. Souvenons-nous : ce psaume fait partie du bloc 113 à 118 (le Hallel, "psaumes du jour") qui était chanté à la fin du repas, lors de la fête juive de la Pâque. Ce qui signifie que Jésus lui-même l'avait chanté le jeudi-saint avant de sortir et de se rendre au Mont des Oliviers. C'est dire combien il est chargé de sens pour la confiance avec laquelle il s'en remet à son Père dont il est sûr qu'il le protège et le délivre du Mal. Un psaume de louange et d'action de grâce… vivante !
01 J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
02 il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.
03a J'étais pris dans les filets de la mort,
03c j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
04 j'ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! »
05 Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
06 Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.
8a Il a sauvé mon âme de la mort,
8c cet mes pieds du faux pas.
09 Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Les références ci-après sont à croiser avec les versets de ce psaume pour approfondir cette thématique du salut.
1. Ps. CXXV, 1. — 2. Luc, XV, 6, 24. — 3. Ps. CXIV, 2. — 4. I Cor. XIII, 13.
L’espérance que le Seigneur attise en nous est fondée sur la foi et sur notre croyance en sa bonté. Mais, dans nos misères spirituelles, nous avons souvent tendance à nous tourner vers lui comme par intérêt, comme un coup de poker… Or, seul le Seigneur nous rassure et nous assure au long de nos épreuves. Si donc notre corps doit mourir, c’est au péché qu’il doit mourir. Mais en nous délivrant du péché, le Seigneur nous délivre de la mort des impies ou de la mort éternelle. Souvenons-nous : ce psaume fait partie du bloc 113 à 118 (le Hallel, "psaumes du jour") qui était chanté à la fin du repas, lors de la fête juive de la Pâque. Ce qui signifie que Jésus lui-même l'avait chanté le jeudi-saint avant de sortir et de se rendre au Mont des Oliviers. C'est dire combien il est chargé de sens pour la confiance avec laquelle il s'en remet à son Père dont il est sûr qu'il le protège et le délivre du Mal. Un psaume de louange et d'action de grâce… vivante !
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• Psaume (114, 1-2, 3ac-4, 5-6, 8ac-9)
01 J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
02 il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.
03a J'étais pris dans les filets de la mort,
03c j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
04 j'ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! »
05 Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
06 Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.
8a Il a sauvé mon âme de la mort,
8c cet mes pieds du faux pas.
09 Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
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Les références ci-après sont à croiser avec les versets de ce psaume pour approfondir cette thématique du salut.
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